Alors que va se ternir du 10 au 20 août
prochain à Nairobi, au Kenya, la Conférence
des Nations Unies sur l'énergie, en même
temps qu'un Forum parallèle organisé par
les Organisations non gouvernementales (du 9 au 16
août), il semble opportun de rappeler les
déclarations mondiales lancées par le
Congrès des Peuples :
en 1972, lors de la
réunion de Stockholm, et diffusé par
Josué de CASTRO :
Comme Délégués Élus au
Congrès des Peuples, directement et
démocratiquement par un corps électoral
transnational réparti dans 110 pays,
Nous affirmons
Être préoccupés de façon
primordiale par les dangers encourus par la race humaine
du fait de :
- la pollution de l'air et des rivières qui
ignore les frontières,
- la pollution des océans devenus
dépotoir mondial,
- la destruction inconsidérée des
terres arables,
- du gaspillage monstrueux des ressources naturelles
non-renouvelables.
Conscients que ces problèmes ne peuvent
être résolus actuellement en raison de
l'absence d'une solidarité mondiale qui
s'imposerait à toutes les entreprises
industrielles pour lutter contre ces fléaux,
Nous demandons
Aux délégués des Etats-Nations
souverains à Stockholm de prendre conscience de
l'impossibilité dans laquelle ils se trouvent -
étant prisonniers des structures inamovibles
qu'ils représentent - d'œuvrer d'une
manière efficace en faveur de la seule solution
qui assurerait la survie de l'humanité, à
savoir :
La création d'INSTITUTIONS MONDIALES
fondées sur des délégations
partielles de pouvoirs de la part des Etats-Nations,
Car la biosphère ne peut être
protégée que par une loi
mondiale.
en 1974
NOUS CONSTATONS
- la persistance de l'exploitation du Tiers-Monde
par les pays nantis,
- l'inégalité dans l'accès aux
matières premières,
- le gaspillage de richesses vitales.
En conséquence,
NOUS DECLARONS
Impérative la création d'Institutions
Mondiales à pouvoirs limités mais
réels pour assurer :
- l'exploitation rationnelle des matières
premières non-renouvelables et des sources
d'énergie existantes,
- la répartition équitable de ces
richesses aux populations du globe,
- la mise à l'étude de nouvelles
sources d'énergie non-polluantes.
seule une solution mondiale peut résoudre
ces problèmes de survie mondiale.
Journaliste mondialiste
bénévole